dimanche 6 décembre 2009

JOUR 21 - 4000 Iles vers Paksé

Ca y est, nous quittons notre ile pour retrouver la « civilisation ». Nous lézardons quand même une dernière fois pour voir les derniers guesthouse plus au sud.
Comme à l’habitude, nous attendons le « ferry » pour traverser le Mékong (5mins lao = 15 mins françaises). Ensuite direction Paksé pour 130 kms de scooter, enfilés d’une traite en pas moins de 2h. Les fesses et de le dos de madame s’en souviennent encore. Ce trajet a été rude pour les nerfs car la vigilance a du être omni-présente du fait de la traversée de la route par des animaux (vaches, buffles, chiens, chèvres…) et l’arrivée à Paksé où la circulation était plus dense et catastrophique.
Dans le centre ville, nous recherchons un guesthouse recommandé par le lonely planet 2009 « Saigon Champassak guesthouse ». La chambre double (80 000 kips) est assez propre mais le bruit de la circulation est dense dés 5h du matin.
A notre réveil, nous constatons des chambres twins qui ne donnent pas sur la route principale et paraissent plus calmes (100 000 kips).
Après un déjeuner rapide, où nous dégustons le meilleur pho (dans un restaurant vietnamien) des dernières 3 semaines, nous nous empressons d’aller visiter le musée du patrimoine de Champassak où nous essuyons un 1er échec. Après la visite d’un temple chinois et un petit tour de la ville, nous retournons au musée et la… 2ième échec.

temple principal de Paksé

qui sait quel animal est-ce ?

Le marché de fruits et légumes de Paksé

Nous abandonnons l’idée de cette visite et allons rendre le scooter (6 jours, 55 000*6 = 333 000 kips) pour finir sur la terrasse du Paksé hotel à déguster un excellent fruit shake ( heureusement à ce prix, 15 000 kips) où nous avons une vue panoramique sur la ville. La capitale de la région de Champassak est loin d’être reluisante et nous laissera très peu de souvenirs.

Vue du Mall et du Mékong de la terrasse du Paksé Hotel

Nous finirons à flâner dans les rues et le marché avant de prendre l’apéro (avec des chips) et le diner.

Monsieur et ses chips

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